Chère Annick,
Un siècle, quel bel anniversaire ! Nous nous connaissons depuis plus de quarante années et chacune de nos rencontres chez nous à Gordes, ou à Paris, Angers et ailleurs fut une joie, empreinte de respect pour ce que tu nous faisais vivre dans ces moments d’amitié : car au-delà de la force de tes paroles qui nous faisaient toujours évoluer intérieurement, nous reste la puissance chaleureuse de ta présence !
Très belle avec ton port altier et élégant, ton sourire et ton regard rayonnant, la lumière qui t’habite nous irradiait.
Tu as incarné physiquement ton message, tu vis tes paroles et nous t’en remercions.
Marie et moi t’embrassons affectueusement et te disons à bientôt, car nous l’espérons, tu es partie pour vivre comme tes chers patriarches bibliques*….
Marc de Smedt
(*)Voir: Le grand retournement au Relié