Le Centenaire d'Annick de Souzenelle

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La rencontre d’Annick de Souzenelle avec le judaïsme

Publié le 7 février 2023

« Pendant cinq années, j’ai bu aux deux mamelles – judaïsme et christianisme – le lait de l’unique Tradition que je ressentais comme ma mère, riche de ses deux pôles nourriciers qui se complètent, se confirment et se vérifient ; ils ne se sont que trop ignorés, alors que leurs épousailles me semblent conditionner le devenir de l’humanité. » Annick de Souzenelle

Les lettres hébraïques, bien au-delà du b-a ba

Publié le 7 février 2023

« Autour des années 1958-1960, mon mari et moi allions chaque dimanche après-midi nous enfermer dans un café douteux du quartier de la République, à Paris, pour contempler la pierre précieuse d’Israël qu’Emmanuel Lévyne tirait amoureusement de ses enveloppes conventionnelles. » Annick de Souzenelle

L’oeil et la source

Publié le 7 février 2023

« Il nous faut aussi aujourd’hui aller puiser plus profondément dans nos ténèbres, dans la réserve d’énergies-informations que détiennent ceux que j’appelle les « Gardiens du Trésor », nos frères hébreux. » Annick de Souzenelle

Le songe des origines

Publié le 7 février 2023

Je me trouvais un jour en Israël, à Tsphat (Safed), patrie des qabbalistes, et reçus au cours d’une nuit, en songe, une information très forte dite en ces termes : « Tu ne quitteras pas cette ville sans avoir rencontré ton grand-père... » « Car il est un sang plus subtil que celui qui fait battre notre cœur-organe... et qui nous relie à notre famille spirituelle » A. de S.

L’Ange conduit Jaqob à expérimenter le Qoph, par Frédérique Lemarchand

Publié le 7 février 2023

J'ai choisi la figure de Jacob de l'Ancien Testament tant étudiée auprès d’Annick pour éclairer notre nuit. Jacob a su rester seul face à son inconscient chargé d'énergies terrifiantes. Pénétrant sa peur de mourir, il lutte avec l'Ange de sa conscience. Le moment noir de la levée du jour est celui où l'Ange lui porte l'ultime coup.

Pourquoi des ailes ?

Publié le 12 décembre 2022

Pendant le temps de l’Avent, dans la liturgie de l’Église orthodoxe des Gaules, liturgie restaurée par le Père Eugraph Kovalevsky, on entend résonner ce chant, composé par Prudentius au IVème siècle et harmonisé par Maxime Kovalevsky, frère du Père Eugraph.