
J’ai rencontré la pensée d’Annick de Souzenelle, dans les années 1997/1998, à partir de son ouvrage : « Le symbolisme du corps humain ». J’ai eu la joie de participer à des rencontres avec Annick autour de ce même thème lors de sessions au Centre d’étude et de prière de Sainte-Croix en Dordogne.
Témoigner et transmettre cette pensée et cet héritage patrimonial sont autant, la volonté de s’inscrire dans la Tradition, et la solidarité qui permet un cheminement à la fois individuel et collectif sur le sens de la vie.